Blancpain fut le premier partenaire institutionnel à soutenir les efforts déployés par Pristine Seas et à contribuer financièrement à ce projet. Entré dans sa quatrième année, ce soutien indéfectible a favorisé l’essor d’un programme qui s’impose désormais comme la principale initiative pour la protection des océans.
Blancpain se félicite de constater que de nouveaux partenaires importants suivent ses traces et appuient cette initiative.
Blancpain a été le premier partenaire clé à soutenir le projet Pristine Seas et à rejoindre la National Geographic Society. En associant explorations, recherches scientifiques, analyses économiques et mesures de communication, le programme a déjà permis de protéger des zones marines aux États- Unis, au Chili, au Gabon, aux Kiribati et au Costa Rica qui couvrent une superficie supérieure à 400’000 kilomètres carrés. L’expansion annoncée étend ainsi un modèle de conservation qui a apporté la preuve de son efficacité. Blancpain se félicite de constater que de nouveaux partenaires importants suivent ses traces et appuient cette initiative. Il s’agit notamment de la Waitt Foundation, du Prince Albert II de Monaco, de la Leonardo DiCaprio Foundation, de la Jynwel Foundation, du Leona M. and Harry B. Helmsley Charitable Trust, de Davidoff Cool Water, de Lindblad Expeditions, de Dynamic Planet, de l’ancien président du Costa Rica José María Figueres et de donateurs individuels.
Les activités de Pristine Seas concernent actuellement trois nouvelles réserves marines. La première, située aux États-Unis, pourrait adopter la forme d’une expansion historique du Pacific Remote Islands Marine National Monument, qui deviendrait la plus vaste zone de protection océanique de la planète. Les deux autres réserves prévues se situent dans le Pacifique Sud, à proximité des îles Pitcairn (un territoire d’outre-mer du Royaume-Uni) et des Palaos.
Selon l’engagement annoncé lors du congrès annuel de la Clinton Global Initiative, le projet Pristine Seas de la National Geographic Society incitera au cours des cinq prochaines années les gouvernements à sauvegarder une vingtaine de nouveaux sites dans le monde au titre de réserves marines de protection intégrale pour un total de plus de deux millions de kilomètres carrés. Ces zones seront exemptes de pêche commerciale et d’exploitation minière afin de conserver leur importance biologique d’une manière analogue aux parcs nationaux instaurés sur la terre ferme. La concrétisation de ces ambitions requiert la participation des gouvernements, des partenaires locaux et d’influents responsables économiques. En outre, sa réalisation aidera les pays à remplir l’objectif de la Convention des Nations-Unies sur la biodiversité qui vise à assurer la protection de 10 pour-cent des océans mondiaux en 2020.