Un succès nommé Co-Axial

Présenté pour la première fois en 1999, il intégrait les calibres 8500 et 8501 de la marque en 2007, offrant une alternative des plus intéressantes à l’échappement à ancre suisse, véritable standard de la profession depuis 250 ans. « Le succès de nos montres équipées de l’échappement Co-Axial signifie que la communication de ses atouts et ses avantages est devenue plus facile, exposait dernièrement Stephen Urquhart. Lorsque la première montre avec un échappement Co-Axial a été introduite, il y a plus d’une dizaine d’années, c’était une tout autre affaire. À l’époque, nous avons dû convaincre des réels bénéfices apportés par cette innovation et démontrer qu’elle était viable ! »

Plus rien de tel aujourd’hui, si bien que cette technologie est en train de se « répandre » à travers toutes les collections de la marque, y compris les modèles féminins avec la Ladymatic présentée en première mondiale à Beijing en novembre 2010. « Nous avons clairement remarqué qu’un nombre croissant de femmes qui achètent des montres de luxe sont sensibles aussi bien à leur design qu’à leur “motorisation ”, poursuivait Stephen Urquhart. Avec le calibre 8520/8521Co-Axial qui équipe la Ladymatic et la nouvelle Planet Ocean 37,5 mm, nous avons créé des montres pour femmes dont la qualité et les performances mécaniques correspondent en tous points à leur attrait esthétique. Les échos que nous avons reçus de la part de notre clientèle vont tous dans ce sens ! »