Harry Winston dévoile sa septième interprétation de la plus mythique des complications : le tourbillon. Après l’avoir exploré dans ses variantes – bi-axial, tri-axial, double ou couplé à un carrousel -, Harry Winston en dépasse à nouveau les limites techniques. Dans un incroyable spectacle, Histoire de Tourbillon 7 dévoile deux tourbillons bi-axiaux qui dansent et dialoguent avec le temps.
Du côté droit du cadran, la zone de lecture taillée en pyramide sert de promontoire à l’aiguille des heures et à celle des minutes. Elle est ceinturée de plaquettes rapportées qui forment un tour d’heure tridimensionnel et incliné. Prolongé d’un long ruban d’aluminium de couleur rouge ou anthracite, selon la version, ajouré pour mieux dégager la vue sur les deux tourbillons bi-axiaux, il surplombe un indicateur de réserve de marche en forme de rouleau, qui affleure une glace en verre saphir bombé.
Du côté gauche du cadran se déploie le ballet incessant des deux tourbillons bi-axiaux. Une première cage de tourbillon est portée dans une seconde cage et toutes deux tournent sur un axe différent. Les deux tourbillons bi-axiaux déplacent alors les échappements de Histoire de Tourbillon 7 dans l’espace.
Haute complication
Histoire de Tourbillon 7 est un écrin de haute technicité pour un mouvement de haute complication. Cela suppose un soin exceptionnel dans le design. La boîte est réalisée dans un bloc d’or blanc. Avec 50 mm de diamètre et sa lunette polie, elle offre une ouverture aux proportions uniques pour mettre en valeur la danse des tourbillons bi-axiaux.
Histoire de Tourbillon 7 est un garde-temps de haute horlogerie au sens le plus abouti du terme. Son mouvement aux finitions superlatives est parmi les plus sophistiqués qui soient. Cette complexité est mise au service d’une forme extrême d’exclusivité. En effet, cette création ne sera éditée qu’à 20 exemplaires, comme chaque révélation de la série Histoire de Tourbillon : 10 pièces pour la version rouge et 10 pièces pour la version anthracite. Mais ces attributs ne sont pas son but. L’hyper technicité n’est pas une fin en soi.
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