Dans ce premier épisode, nous parlons à Mae K L Dorricott, étudiante bénéficiaire de la bourse d’études Rolex Dive et vraie passionnée de la marque, afin de découvrir si elle est tout simplement fan de Rolex ou si ces montres-outils ont une réelle utilité dans son métier…
J’ai commencé à plonger dès l’âge de 12 ans ! J’aurais aimé pouvoir commencer plus tôt, mais 12 ans est l’âge minimum pour passer son premier diplôme de plongée. Avant cela, je plongeais avec masque et tuba. J’ai beaucoup de chance d’avoir une mère originaire de Malaisie. Quand nous rendions visite à notre famille, ils me jetaient à l’eau avec un masque et un tuba et me laissaient partir en exploration. La plongée sous-marine a été la suite logique de ces premières découvertes, me permettant de passer le plus de temps possible sous l’eau.
Pour être honnête, je n’ai jamais été passionnée par les montres. J’aime à penser que j’ai l’esprit hippie. Une montre au poignet était pour moi un rappel constant que j’étais ou que j’allais être en retard ! Cependant, quand j’ai obtenu la bourse Rolex 2017 European OWUSS et qu’on m’a offert une Rolex Submariner, j’en suis tombée amoureuse.
Rolex a un lien fort avec l’exploration et la conservation des océans. La marque parraine d’incroyables photographes sous-marins et l’une de mes héroïnes personnelles, Sylvia Earle. Le fait de porter une Rolex me fait ressentir tout cela. La « Scholarship Society » et Rolex ont cru en moi en tant que jeune passionnée des océans qui souhaite s’occuper du monde marin. Le port de cette montre me rappelle aujourd’hui ce que je souhaite accomplir et le soutien que j’ai reçu de tous ces experts de renom.
Ce serait ma Submariner. Elle se porte avec une tenue habillée ou décontractée. C’est mon partenaire de plongée, mon compagnon de voyage. J’adore ce qu’elle représente, le fait d’être en mouvement perpétuel, tout comme notre planète.
Les ordinateurs de plongée sont si sophistiqués de nos jours qu’il serait ridicule de ne pas en utiliser un. Ils enregistrent votre plongée seconde après seconde, mètre par mètre. Une montre de plongée n’est malheureusement plus une nécessité mais un bonus. Et si je plonge dans des eaux froides, je la retire, car je ne pourrais pas la voir sous ma combinaison étanche et mes gants épais ! Dans un monde idéal, j’aimerais plonger avec, mais hélas les temps ont changé.
Je me souviens d’avoir plongé à Fidji avec des requins-bouledogues. J’étais sur le point de sauter à l’eau et de descendre à 20 mètres pour être entourée de ces merveilles. Au moment de me mettre à l’eau, Mike Neumann, le chef de l’expédition, qui porte également une Submariner mais le modèle 3’000 mètres, m’a retenue. Il a regardé ma Submariner qui brillait sous les rayons du soleil et m’a dit qu’il serait préférable de la placer sous ma combi. Nous allions être entourés d’au moins 30 requins femelles adultes à la recherche de nourriture. Il valait mieux qu’elles ne confondent pas ma montre avec les écailles d’un poisson !